Chirurgie proctologique

Ce type de chirurgie concerne toute la zone située autour de l'anus (hémorroïdes, sillon interfessier ou encore kyste sacro-coccygien).

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Les différentes pathologies

La chirurgie proctologique comprend un grand nombre de technique en fonction du type de pathologies et de l'avancée de celle-ci. Le Docteur DUROU et le Docteur MURCIA vous expliqueront la méthode la plus adéquat en fonction du type de pathologie.

Kyste saccro-coccygien = KSC = sinus pilonidal

Formation d'un kyste à la base du dos, au-dessus du sillon interfessier, très douloureux et parfois purulent.

Abcès de la marge anale et fistule anale

Formation d'un abcès autour de l’anus trés douloureux présentant le plus souvent, un réseau interne appelé fistule qui se forme pour éliminer l'excédent de pus.

Hémorroïdectomie

Chirurgie permettant de traiter l'inflammation du réseau artério-veineux hémorroïdaire situé dans le canal anal. Les « crises hémorroïdaires" se manifestent soit par des paquets veineux sortant par l’anus, soit par des saignements, soit par tuméfactions douloureuses brutales au niveau de l’anus.

Fissure anale

"Déchirure" du tissu à l'intérieur du canal anal. Cette déchirure extrêmement douloureuse est provoqué en général par un transit lent.


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FAQ

Les questions fréquemment posées

Est ce pris en charge par la mutuelle / Sécu / CMU ?

Oui. Aucun dépassement d’honoraires est demandé pour les prises en charge chirurgicales.

S’agit t’il de chirurgie douloureuse ?

Cela dépend de la pathologie et des techniques utilisés. Les protocoles misent en place par les anesthésistes de l’équipe permettent un retour au domicile sans hospitalisation, les ordonnances de sortie sont donnés avant l’intervention avec comme consigne la prise systématique d’antalgiques.

Durée de l’arrêt de travail ?

Cela dépend, encore une fois de la pathologie, du type d’intervention et de la profession. Cela peut aller de quelques jours à 1 mois.

Dois-je me faire anesthésier pour passer sur la table d’opération ?

Oui, soit par une piqure en bas du dos ou on reste éveillé ( rachis-anesthésie ) soit par anesthésie générale.

Comment éviter les récidives ?

Il faut essayer d’avoir un transit régulier, « souple », et éviter tout ce qui peut amener des hyperpression pelviennes (lire son smartphone aux toilettes...)